Moussa Touré L'inis
Marie-Claude Fournier conseille les jeunes réalisateurs invités à tourner un film dans le cadre de Moussa invite
Solidarité
Jeudi 22 mai 2014
Le réalisateur sénégalais Moussa Touré (La pirogue), venu à Montréal en septembre dernier offrir une classe de maître à L’inis, est aussi l’hôte d’un important festival de films documentaire. Cet événement, qui a lieu à Dakar au mois de juin de chaque année, comporte un volet formation permettant à de jeunes réalisateurs de tourner un documentaire qui sera présenté dans le cadre du festival. En 2014, L’inis a mis Marie-Claude Fournier, diplômée du programme Documentaire 2010, en contact avec l’équipe du Festival Moussa invite afin qu’elle apporte son soutien à la scénarisation des projets documentaires. Au cours des dernières semaines, Marie-Claude a correspondu avec cinq jeunes sénégalais et les a conseillés dans la préparation de leur film.
Elle leur a demandé de réaliser différents exercices afin de mieux définir leur sujet : préciser en quelques lignes la raison qui a motivé leur choix de sujet ; faire une courte description du protagoniste, de son quotidien et de son habitude ; et finalement déterminer des situations permettant d’illustrer l’histoire qu’ils veulent raconter.
Les cinq jeunes cinéastes encadrés à distance par Marie-Claude sont Cheikh Ibrahima Diop, Fatima Toure, Fatoumata Kante, Ibra Seck et Seydina Diop.
Les sujets qu’ils comptent aborder vont de la toxicomanie, à l’occidentalisation de la mode, en passant par la difficulté pour les jeunes filles diplômées de se trouver un emploi et le drame des femmes violées.
Elle leur a demandé de réaliser différents exercices afin de mieux définir leur sujet : préciser en quelques lignes la raison qui a motivé leur choix de sujet ; faire une courte description du protagoniste, de son quotidien et de son habitude ; et finalement déterminer des situations permettant d’illustrer l’histoire qu’ils veulent raconter.
Les cinq jeunes cinéastes encadrés à distance par Marie-Claude sont Cheikh Ibrahima Diop, Fatima Toure, Fatoumata Kante, Ibra Seck et Seydina Diop.
Les sujets qu’ils comptent aborder vont de la toxicomanie, à l’occidentalisation de la mode, en passant par la difficulté pour les jeunes filles diplômées de se trouver un emploi et le drame des femmes violées.