Recherche
Jeudi 21 mai 2015
TECHNÈS est une initiative de partenariat international qui unit depuis 2012 les efforts de trois groupes de recherche universitaires de l’espace francophone en France, en Suisse et au Canada. Chacun des groupes est associé à une cinémathèque et à une école de cinéma. Au Québec, le GRAFICS de l’Université de Montréal collabore avec la Cinémathèque québécoise et L’inis, représenté par Richard Jutras, directeur du programme Cinéma. Avec les autres membres de TECHNÈS, ils mènent une étude approfondie sur l’impact des bouleversements technologiques sur l’esthétique et la technique cinématographiques, les pratiques et les formes filmiques, les machineries et les conceptions du cinéma.
En France, le laboratoire de cinéma de l’équipe « Arts : pratiques et poétiques » de l’Université Rennes 2, la Cinémathèque française et la FÉMIS sont associés, alors qu’en Suisse le groupe « Dispositifs » de l’Université de Lausanne, la Cinémathèque suisse et l’École cantonale d’art de Lausanne travaillent conjointement. L’équipe québécoise a également comme partenaires la Faculté des arts et des sciences de l’Université de Montréal, l’Observatoire du cinéma au Québec et le Canal Savoir.
Les recherches porteront sur l'étude du point de bascule de l'hégémonie de l'univers photochimique que représente l'avènement de la télévision comme média de masse, dans les années 1950, jusqu'à la « révolution numérique » qui a été initiée au tournant des années 1990 et dont nous sommes encore en train d'absorber les coups et contrecoups. Elles seront éclairées par l’étude des périodes antérieures marquées par des bouleversements technologiques (dont la mise en place des technologies de prise de vues cinématographiques ainsi que celle de l’introduction des technologies de sonorisation des films).
En France, le laboratoire de cinéma de l’équipe « Arts : pratiques et poétiques » de l’Université Rennes 2, la Cinémathèque française et la FÉMIS sont associés, alors qu’en Suisse le groupe « Dispositifs » de l’Université de Lausanne, la Cinémathèque suisse et l’École cantonale d’art de Lausanne travaillent conjointement. L’équipe québécoise a également comme partenaires la Faculté des arts et des sciences de l’Université de Montréal, l’Observatoire du cinéma au Québec et le Canal Savoir.
Les recherches porteront sur l'étude du point de bascule de l'hégémonie de l'univers photochimique que représente l'avènement de la télévision comme média de masse, dans les années 1950, jusqu'à la « révolution numérique » qui a été initiée au tournant des années 1990 et dont nous sommes encore en train d'absorber les coups et contrecoups. Elles seront éclairées par l’étude des périodes antérieures marquées par des bouleversements technologiques (dont la mise en place des technologies de prise de vues cinématographiques ainsi que celle de l’introduction des technologies de sonorisation des films).