Jean Hamel et Geneviève Dulude-Decelles Maxime Labrecque
Le Prix INIS Prends ça court! 2014 est décerné à Geneviève Dulude-De Celles pour son film La coupe
Récompense
Jeudi 27 février 2014
Cette année, le Prix INIS Prends ça court a été décerné à Geneviève Dulude-De Celles pour son film La coupe. Ce prix, d'une valeur de 5 000 $, est constitué de 1 000 $ en argent, 1 000 $ en crédit de formation et 3 000 $ en soutien technique. L'institut a également décerné une Mention spéciale à Moïse Marcoux-Chabot pour son film Lespouère. Il a reçu 500 $ en crédit de formation.
La mention a été remise Moïse Marcoux-Chabot pour son documentaire Lespouère parce qu'en ces temps où il est facile de s’indigner, il a réussi à le faire d’une manière poétique et avec un protagoniste convaincant.
Quant au prix INIS remis à Geneviève Dulude-De Celles pour son court métrage La Coupe, c'est la qualité du jeu des comédiens et le dynamisme de la mise en scène que nous avons tenu à souligner.
C’était la cinquième fois que L’inis remettait un prix d’importance dans le cadre de cette soirée annuelle.
En 2010, nous avons récompensé Ky Nam Le Duc pour son film Terre des hommes; en 2011, Éric Morin pour Opasatica; en 2012, Alexandre Desjardins pour L’arbre au cœur qui bas; et en 2013, Rémi St-Michel pour Le chevreuil.
Dans tous les cas, nous croyons que le soutien financier et technique de ce prix a aidé ces réalisateurs à poursuivre leur travail de création. Nous les félicitons pour cela.
La mention a été remise Moïse Marcoux-Chabot pour son documentaire Lespouère parce qu'en ces temps où il est facile de s’indigner, il a réussi à le faire d’une manière poétique et avec un protagoniste convaincant.
Quant au prix INIS remis à Geneviève Dulude-De Celles pour son court métrage La Coupe, c'est la qualité du jeu des comédiens et le dynamisme de la mise en scène que nous avons tenu à souligner.
C’était la cinquième fois que L’inis remettait un prix d’importance dans le cadre de cette soirée annuelle.
En 2010, nous avons récompensé Ky Nam Le Duc pour son film Terre des hommes; en 2011, Éric Morin pour Opasatica; en 2012, Alexandre Desjardins pour L’arbre au cœur qui bas; et en 2013, Rémi St-Michel pour Le chevreuil.
Dans tous les cas, nous croyons que le soutien financier et technique de ce prix a aidé ces réalisateurs à poursuivre leur travail de création. Nous les félicitons pour cela.