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Fernand Dansereau
Membre fondateur et président du conseil de 1989 à 1992, aujourd'hui responsable du profil Scénariste du programme Cinéma
Fernand Dansereau est à l'origine même du projet de fonder un centre de formation professionnelle en cinéma. Il y travaille dès le milieu des années 1980. Il est le président fondateur de l'Institut et occupe la présidence du conseil de 1989 à 1992.
Entré à l'Office national du film en 1955, Fernand Dansereau y est animateur à l'écran, scénariste et réalisateur. De 1960 à 1964, il est producteur exécutif, puis directeur adjoint de la production, et sous sa férule naîtront quelques-unes des plus belles œuvres de cinéma direct québécois: «GoldenGloves», de Gilles Groulx, en 1961, «Les Bûcherons de la Manouane», d'Arthur Lamothe, en 1962, et, un an plus tard, «Pour la suite du monde», de Pierre Perrault et Michel Brault. En 1965, Dansereau redevient réalisateur: c'est «Astataïon ou le festin des morts». Suivent en 1968 un long métrage d'enquête qui a pour titre St-Jérôme et, en 1969, «Tout l'temps, tout l'temps, tout l'temps…», qui porte sur la classe ouvrière.
Fernand Dansereau a travaillé non seulement pour le cinéma, mais aussi pour la télévision. Avant de retourner au long métrage de fiction en 1978, avec «Thetford au milieu de notre vie», Dansereau travaille de 1973 à 1978 à la télévision, en particulier pour une série documentaire sur la culture populaire et le patrimoine intitulée «Un pays, un goût, une manière…». La télévision l'accaparera de nouveau de 1984 à 2000. Il écrira, entre autres, un téléroman qui remportera beaucoup de succès, «Le Parc des Braves». On lui doit également l'adaptation des «Filles de Caleb (Émilie)», les scénarios de la série «Shehaweh» et de la série «Caserne 24».
Celui qui est un homme de partage et qui se définit comme «un cinéaste de relations» a réalisé une quarantaine de films. Il en a produit presque autant. En 2003, le Prix Lumières de l'Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec lui est décerné, entre autres pour avoir constamment cherché à réinventer le langage du cinéma afin de le mettre à la portée des gens ordinaires. L'année suivante, ses qualités de «visionnaire et de fondateur» sont soulignées par l'Institut national de l'image et du son qui lui remet un diplôme honorifique.
Fernand Dansereau siège au comité pédagogique du programme Cinéma à titre de responsable du profil Scénariste.
Entré à l'Office national du film en 1955, Fernand Dansereau y est animateur à l'écran, scénariste et réalisateur. De 1960 à 1964, il est producteur exécutif, puis directeur adjoint de la production, et sous sa férule naîtront quelques-unes des plus belles œuvres de cinéma direct québécois: «GoldenGloves», de Gilles Groulx, en 1961, «Les Bûcherons de la Manouane», d'Arthur Lamothe, en 1962, et, un an plus tard, «Pour la suite du monde», de Pierre Perrault et Michel Brault. En 1965, Dansereau redevient réalisateur: c'est «Astataïon ou le festin des morts». Suivent en 1968 un long métrage d'enquête qui a pour titre St-Jérôme et, en 1969, «Tout l'temps, tout l'temps, tout l'temps…», qui porte sur la classe ouvrière.
Fernand Dansereau a travaillé non seulement pour le cinéma, mais aussi pour la télévision. Avant de retourner au long métrage de fiction en 1978, avec «Thetford au milieu de notre vie», Dansereau travaille de 1973 à 1978 à la télévision, en particulier pour une série documentaire sur la culture populaire et le patrimoine intitulée «Un pays, un goût, une manière…». La télévision l'accaparera de nouveau de 1984 à 2000. Il écrira, entre autres, un téléroman qui remportera beaucoup de succès, «Le Parc des Braves». On lui doit également l'adaptation des «Filles de Caleb (Émilie)», les scénarios de la série «Shehaweh» et de la série «Caserne 24».
Celui qui est un homme de partage et qui se définit comme «un cinéaste de relations» a réalisé une quarantaine de films. Il en a produit presque autant. En 2003, le Prix Lumières de l'Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec lui est décerné, entre autres pour avoir constamment cherché à réinventer le langage du cinéma afin de le mettre à la portée des gens ordinaires. L'année suivante, ses qualités de «visionnaire et de fondateur» sont soulignées par l'Institut national de l'image et du son qui lui remet un diplôme honorifique.
Fernand Dansereau siège au comité pédagogique du programme Cinéma à titre de responsable du profil Scénariste.