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Sophie B Jacques
Réalisatrice, scénariste, Diplômée du programme Cinéma 2012, profil Réalisateur
À ses débuts, Sophie fait sa marque comme photographe. Elle oeuvre comme portraitiste, participe à une dizaine d’expositions et signe la pochette d’album de plusieurs artistes. Elle est ensuite repêchée par L’inis en 2012 pour prendre part à la cohorte de cinéma, profil réalisation. Elle y décroche la bourse Desjardins Maison Radio-Canada afin de tourner en Belgique « Dimanche nous verrons », un documentaire dans lequel elle expose avec une franche délicatesse la monomanie d’un sexagénaire pour les jouets et pour lesquels il a créé un musée. Ce film est entre autres présenté au Festival Hot Docs et se mérite une mention spéciale de la relève aux RIDM.
Depuis, Sophie se démarque grâce à ses courts-métrages « Chaloupe », nommée aux Jutra en 2015, ainsi que « Foyer », sélectionné jusqu’à ce jour dans une cinquantaine de festivals (Sydney, Krakow, Rhode Island, Thessaloniki, Detroit, Los Angeles). Ce thriller lui vaut la reconnaissance autant du public que de ses pairs. Ses courts-métrages se distinguent particulièrement par l’intensité évocatrice des pulsions secrètes de l’âme que favorisent l’intimité, les huis-clos, ainsi que par des dialogues captivants où l’on sent le constant accroissement des tensions.
Actuellement, Sophie développe « Feu rouge », un court-métrage sur la violence familiale au féminin et « Antidouleur », une série jeunesse sur l’anxiété de performance. Elle poursuit la coécriture de son premier long métrage Tempête, un thriller psychologique et adapte pour le grand écran le premier tome de la trilogie à succès d’Elizabeth Landry. Tous ces projets traitent de drames sociaux où la psychologie est au fondement même de la trame narrative. C’est avec cette approche cinématographique qu’elle évolue comme cinéaste et dans laquelle elle est pleinement à l’aise de tisser différents univers.
La sensibilité aiguisée de Sophie, la finesse de sa direction d’acteurs et son talent à rendre des ambiances d’une inquiétante étrangeté confèrent à ses créations un indéniable pouvoir d’attraction, voire de fascination.
Photo : Ariane Carrier-Cliche
Depuis, Sophie se démarque grâce à ses courts-métrages « Chaloupe », nommée aux Jutra en 2015, ainsi que « Foyer », sélectionné jusqu’à ce jour dans une cinquantaine de festivals (Sydney, Krakow, Rhode Island, Thessaloniki, Detroit, Los Angeles). Ce thriller lui vaut la reconnaissance autant du public que de ses pairs. Ses courts-métrages se distinguent particulièrement par l’intensité évocatrice des pulsions secrètes de l’âme que favorisent l’intimité, les huis-clos, ainsi que par des dialogues captivants où l’on sent le constant accroissement des tensions.
Actuellement, Sophie développe « Feu rouge », un court-métrage sur la violence familiale au féminin et « Antidouleur », une série jeunesse sur l’anxiété de performance. Elle poursuit la coécriture de son premier long métrage Tempête, un thriller psychologique et adapte pour le grand écran le premier tome de la trilogie à succès d’Elizabeth Landry. Tous ces projets traitent de drames sociaux où la psychologie est au fondement même de la trame narrative. C’est avec cette approche cinématographique qu’elle évolue comme cinéaste et dans laquelle elle est pleinement à l’aise de tisser différents univers.
La sensibilité aiguisée de Sophie, la finesse de sa direction d’acteurs et son talent à rendre des ambiances d’une inquiétante étrangeté confèrent à ses créations un indéniable pouvoir d’attraction, voire de fascination.
Photo : Ariane Carrier-Cliche